Généralement, si une personne veut bien acheter un bateau d’occasion ou même un bateau neuf, la première action qu’elle doit faire face est de faire établir une récapitulation de tous les éventuelles charges rattachées au programme d’achat, en plus de l’estimation du prix d’acquisition du bateau souhaité. Et par la même occasion, l’initiateur du projet doit aussi prévoir dans le décompte une rubrique mentionnant tous les frais annexes afférents à la bonne gestion et à l’entretien du matériel flottant nouvellement acquis.

Une souscription à une assurance est impérative

A ce titre, il a été relevé différentes sortes de frais financiers et de frais de gestion indispensables qu’il faut tenir compte nécessairement et périodiquement dans la gérance du bateau. En premier lieu, il y a lieu de faire une souscription d’une assurance en couverture des risques encourus par le bateau. En principe, le montant total de la souscription s’articule autour de 1 à 2% par an du prix d'un bateau. En fait, plusieurs garanties d’assurance sont offertes auprès d’une compagnie d’assurance pour la protection du bien, cependant, c’est, justement, le futur propriétaire du bateau qui en décide en dernier ressort.

Des frais d’entretien périodique sont à prévoir

De plus, quel que soit le type du bateau, il faut toujours prévoir une poste budgétaire relative à l’entretien du matériel dans le compte prévisionnel initial. Sur ce point, il est tellement conseillé de ne pas minimiser l’allocation d’un montant adéquat destinée, tout au moins, aux frais de maintenance les plus élémentaires du bateau pour éviter d’avoir des éventuelles mauvaises surprises au cours d’une sortie en mer. Entre autres, la valeur accordée à ce poste annuellement se situe, à juste titre, aux environs de 200 à 400 euros.

Autres frais de gestion entrent en ligne de compte

Pratiquement, au cas où le bateau ne s’amarre pas au port suite à une faute de place, il faut engager, tout particulièrement, une dépense de gardiennage à sec de celui-ci. Dans ce cas, le tarif appliqué pour un voilier de 5.50 m commence à 73 euros par mois. Néanmoins, ce qu’il ne faut pas aussi oublier c’est que la conduite d’un bateau à moteur ayant une puissance de plus de 4.5 kilowatts requiert la détention d’un permis. Ce qui nécessite la bagatelle de 270 à 581 euros en fonction du type du permis à passer. Quoi qu’il en soit, dans l’acquisition d’un bateau, il existe des compagnies qui proposent à leurs clients une formule de location avec option d’achat en fin de période du contrat. A cet effet, un crédit-bail aux taux d’intérêt variant de 4 à 5% de la valeur d’acquisition du bateau est accordé à leur clientèle.